IIème REPUBLIQUE (1848/1852) - 5 FRANCS type Hercule - 1849 A, Paris
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IIème REPUBLIQUE (1848/1852) - 5 FRANCS type Hercule - 1849 A, Paris

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A/ LIBERTÉ ÉGALITÉ FRATERNITÉ. Hercule nu avec la léonté (La peau du lion de Némée) debout de face, armé d'une masse, unissant la Liberté debout à gauche, tenant une pique surmontée d'une main de justice, et l'Égalité à droite, tenant le niveau.

R/RÉPUBLIQUE FRANÇAISE. Couronne constituée d'une branche de laurier et d'une branche de chêne nouées pas un ruban.

Argent - 37 mm - 24,54g - G.683 - F.327/1

Le lion de Némée est fils d'Orthos, le chien de Géryon, et de la Chimère ou d'Échidna, à l'instar du Sphinx de Thèbes. Il fait régner la terreur dans la région de Némée, en Argolide. Il présente la particularité d'avoir une peau impénétrable.

Tuer ce monstre et le ramener à Eurysthée constitue le premier des douze travaux qu'Hercule doit accomplir. À son arrivée à Cléones, le héros s'arrête dans la hutte d'un laboureur, nommé Molorchos, qui veut lui offrir un sacrifice, comme à un dieu. Refusant le pareil honneur, Hercule lui demande d'attendre un mois. Ce mois passé, ou bien il méritera un sacrifice au titre de héros mort, ou bien il aura tué la bête, auquel cas Molorchos pourra alors offrir le sacrifice à Zeus. Un soir, Hercule surprend le lion sur le versant d'une colline, après le repas de la bête. Dissimulé, il tire sur elle à coup de flèches. Mais il s'aperçoit rapidement que le monstre est invulnérable. Ses flèches, offertes pourtant par Apollon, rebondissent sur son cuir. Le lion charge, Hercule évite l'assaut. Il combat armée seulement de sa masse en bois d'olivier. Il en frappe le lion, puis l'étouffe, brisant sa masse dans la mêlée.