Carnet de voyages 2003 "La France à voir"

Carnet de voyages 2003 "La France à voir"

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Taxes incluses. Frais d'expédition calculés lors du passage à la caisse.

Un carnet de voyage de 68 pages dont :

10 feuilles gommées au verso, illustrées au recto par Jeanne-Elisabeth Maupin comprenant chacune un timbre du bloc La France à voir n° 2, situé en bas à droit de la page (soit 20 pages).

40 pages illustrées par des dessins et aquarelles de Michel Constant rehaussés parfois de fusain.

8 pages prévues pour que le client s'exprime en écrivant ses propres annotations ou en dessinant.

Ce carnet de voyage a une couverture imitation carnet à dessin, une reliure collée mais donnant une impression de spirales.

Le château de Chenonceau : construit sur le Cher, dont les eaux reflètent la magnificence, le Château de Chenonceau à l'architecture Renaissance est le fleuron des châteaux de la Loire. Bâti en 1513 par Katherine Briçonnet, embelli successivement par Diane de Poitiers et Catherine de Médicis, sauvé des rigueurs de la Révolution par Madame Dupin, Chenonceau doit beaucoup aux femmes. Du reste, pour l'Histoire de France, Chenonceau est le "Château des Dames".
Mas provençal : jadis conçu pour les besoins de la ferme, le mas provençal évoque immanquablement le soleil et les cigales de la Provence où il se fond dans le paysage. Son implantation ne doit rien au hasard : généralement bâti sur un terrain proche d'une source d'eau, denrée précieuse à l'époque, sa façade est orientée presque invariablement au sud, à l'abri des caprices du temps.
Maison alsacienne : l’une des richesses de l'Alsace est très certainement son patrimoine architectural, si caractéristique : une  allure imposante des maisons ; des façades pimpantes souvent colorées suivant la tradition de la région avec le choix du bleu, couleur de la Vierge Marie ; des colombages passés au brou de noix ; des linteaux de portes, le poteau d'angle, la clé d'arc de porte cochère ou de cave ornée de l'attribut d'un métier rural.
La pointe du Raz : "Qui voit Sein, voit sa fin" : ce dicton très répandu chez les marins se comprend tout de suite quand on voit la pointe du Raz. Située à la proue de la Bretagne juste à l'ouest de l'île de Sein, la pointe du Raz est l'un des sites les plus saisissants de la côte Atlantique. Ici, les millénaires ont façonné une nature chargée de rêves et d'imaginaire. D'énormes rouleaux  font chanter les galets de la baie de Trépassés.
Le mont Blanc : il en est qui se tasse en vieillissant. Eh bien pas le mont Blanc. Après une nouvelle mesure G.P.S. (système de localisation par satellite), le toit de l'Europe occidentale s'est vu attribuer 3,40 m supplémentaires. Le mont Blanc grandit donc, malgré l'érosion, car la mesure prend en compte l'épaisseur de glace au sommet. 
Les toits de Bourgogne : l’origine de ces tuiles de couleur viendrait soit d'Europe centrale, soit des Flandres. Les tuiles de quatre couleurs, jaune clair, vert olive, rouge brique et ocre brun, étaient fabriquées sur place, moulées sur sable dans des formes de bois, cuites une fois avec un enduit au plomb, avant d'être cuites une seconde fois, recouvertes d'une glaçure intégrant les oxydes métalliques qui leur conféraient leur couleur.
Maison basque : il n'existe pas un seul type de maison. Le pays basque est constitué en effet de trois "pays" qui présente chacun leur type d'architecture. Mais la plus répandue est sans nul doute la maison dite labourdine. Cette maison pignon présente une façade à l'ossature régulière avec deux niveaux d'étage en encorbellement, soutenus par deux grosses poutres horizontales. Les murs latéraux, le pignon arrière et le rez-de-chaussée sont traités en maçonnerie enduite. Un toit de tuiles rondes recouvre largement l'ensemble en le débordant.
Tour génoise corse : les tours génoises ont été édifiées au XVème et XVIème siècles. À l'époque, les gouverneurs génois décidèrent de prendre les grands moyens pour se défendre des attaques des pirates barbaresques venus d'Afrique du Nord. Lles autorités firent alors construire des tours crénelées, rondes ou carrées, distantes les unes des autres d'environ vingt à trente kilomètres, habitées en permanence par des guetteurs. Dès que ceux-ci apercevaient le danger en mer, ils allumaient des feux dont les lueurs se répondaient de tour en tour et permettaient d'alerter les paysans et les marins, leur laissant ainsi le temps de se mettre à l'abri dans les montagnes ou, à défaut, dans l'une des tours.
L'Arc de Triomphe : c’est Napoléon qui confia à Chalgrin la construction d'un arc à la gloire des armées de l'Empire Commencée en 1806, la construction est achevée en 1836. Conçu sur le modèle des arcs de triomphe de l'Antiquité, il en diffère cependant par sa taille monumentale : 50 m de haut pour 45 m de large. L'Arc de Triomphe est l'un des plus illustres symboles de Paris. Il verra se dérouler à ses pieds quelques-uns des moments les plus forts de notre histoire.
Le pont du Gard : si l'on sait que le pont du Gard fut construit au cours de l'Antiquité, bien des questions restent en suspens: qui l'a construit et comment était-il possible d'avoir des technologies aussi avancées pour l'époque. Car il faut savoir que la partie visible n’est que la partie centrale de l’édifice (300 x 52 m). Il couvrait 50 km de distance pour amener l’eau d’Uzès à Nîmes. Classés Patrimoine Mondial par l'UNESCO, le site et le pont, dont la valeur sont unanimement reconnue pour la richesse de la faune et de la flore, font depuis 1995 l'objet d'un très ambitieux chantier de réhabilitation.

Format: 210 x 137

Imprimé en héliogravure